Épuisement et rencontre [PV. Shiki] (maison Shiki)

Uriko avait fait ce que Suma lui avait dit de faire, elle avait tenter vivre une vie différente, gagner de l'argent et vivre sa vie sur le bon côté de la loi, mais il ne lui avait jamais dit comment compliqué que c'était de faire une telle chose alors que tout ce que l'on connaissait était une cage en métal et du sang dans les combats de gladiateurs des rues. Elle avait tenter se trouver un emplois, mais personne ne lui avait donner puisqu'elle n'avait pas d'adresse et ils ne voulaient pas d'une personne vivant dans la rue. Puis elle avait voulu se trouver un appartement, mais puisqu'elle n'avait pas d'argent, elle ne pouvait pas en avoir.
Elle continuait donc à errer dans les rues, volant pour se nourrir et se vêtir et se battant toujours pour trouver un endroit où dormir pour la nuit. Elle ne restait jamais à un seul endroit pour bien longtemps, d'autres nekos voulait l'endroit et ils étaient prêt à la tuer pour l'avoir.
Elle était maintenant dans le centre-ville, cherchant quelque chose à manger, elle n'avait plus d'énergie, cela faisait déjà une semaine qu'elle errait autour des maisons, ne trouvant rien à manger sauf des bouts de pains que les humains lançaient pour les oiseaux le matin ou le soir. Elle buvait l'eau de pluie qui se retrouvait cooincée dans des barrils et des trucs comme ça et elle logeait dans les niches des chiens qui, eux, dormaient à l'intérieur.
Elle était épuisée, affamée et ses pieds la faisaient souffrir. Elle cherchait et cherchait, mais elle ne savait plus quoi. Elle regarda autour, les gens dans leurs fenêtres fermaient les rideaux en la voyant, ça ne lui faisait ni chaud ni froid, c'était un acte que les gens faisaient lorsqu'ils craignaient quelque chose qu'ils ne comprennaient pas ou en quoi ils n'avaient pas confiance. Uriko était probablement les deux en même temps. Elle marcha entre deux complex d'appartements, sur de l'asphalte, puis elle craqua.
Son corps tomba en face et ne bougea plus. Elle tenta de se relever, mais ses bras ne lui écoutaient plus, plus rien ne répondait à ses commandes.

"Autant prendre une sieste alors."

Elle ferma les yeux et se laissa sombrer. Ce qu'elle fit rapidement; elle tomba dans l'inconscience.

Une fois les cours fini et de retour d'une dur journée de travail, j'arrivai enfin à la maison. Mes parents m'avaient donné la permission d'avoir mon propre appartement. Ils savaient que j'étais assez responsable et voulaient me donner la chance de voler de mes propre ailes. J'ai choisi un petite place juste assez grand pour moi. C'était presque un appartement de luxe. Mes parents ne voulaient pas que j'habite dans un logement de moyenne classe et encore moins un trou a rat qu'ils appelaient. Au moins mon appartement n'était pas trop grand, je pouvais faire le ménage facilement! C'était assez moderne: planchers en céramique noir et blanc partout, les murs blanc décorés avec des cadres avec mes images préféré, les meubles et accessoires noir, blanc et rouge pour complimenter le tout! J'étais assez confortable dans ces lieux...

Enfin bref... J'étais enfin de retour à la maison. J'avais eut des examinas toute la journée à l'école. Au resto où je travail, les clients avaient tous décidé d'être trop difficile pour je ne sais quelle raison! Pourtant la nourriture était irréprochable, tout me semblait parfait. Mais peu importe! Je pouvais enfin me reposer un peu. J'ouvrai la porte de mon appart' et je constatait que je n'avais pas fait le ménage pendant un bon moment. Après cette dur journée je devais en plus faire le ménage! Je me mettais au travail. Je ramassait tout le vidanges qui trainaient par terre, replaçait mes choses a leur place respectif, je passait aussi le balai et lava mes planchers. Heureusement il n'avait pas grand chose a faire! J'en profita pour me faire à manger en même temps. Toutefois j'avais toujours la fâcheuse manie de trop en faire. Je décida de me faire du ramen fait maison, du vrai ramen, pas ces nouilles instantané qui goutent trop salé pour rien! Je me retourna vers l'endroit où je plaça ma poubelle et remaria qu'elle débordait. Je laissait ma nourriture mijoter. Je devais sortir ces vidanges avant que la maison empeste.

Je sortit dehors avec le gros sac noir entre les mains en me dirigeant vers la petite ruelle entre mon établissement et celle voisine. Il y avait une grosse benne a vidange. Je ne faisait pas vraiment attention où je me mettais le pieds. J'étais trop préoccupé avec la musique que j'écoutais sur mon MP4. Bien sur, je trébucha sur quelque chose et tomba par terre.

-Ouch!!!
*Bravo le grand! Regarde dont ou tu te mets le pieds! Qu'estce que c'était?*
Je me releva en me frottant les membres quelque peu endoloris et épousseta mes vêtement de la saleté. Je me retourna pour voir sur quoi qui m'avait fait tomber. C'était une fille! Génial! Moi qui était toujours mal à l'aise autour des filles... Qu'est ce que je devais faire!? Je ne pouvait pas la laisser là. Des pervers pourraient en profiter pour la violer ou voler ses choses.

Je me dépêcha pour jeter le sac et retourna près de la fille. Je m'accroupis a son niveau et remarqua que j'avais brisé le MP3 de la fille. *Et merde.* C'était vraiment une journée d'enfer aujourd'hui! Je ne faisait que des gaffes! J'essayais de la réveiller, mais sans résultats. *Euff...* Je ne savais vraiment pas quoi faire. La seule brillante idée qui me passait par la tête c'était de la rentrer chez moi! Je la souleva et la tins fermement dans mes bras pour pas que je l'échappe. Je fit mon possible pour ouvrir la porte et je la posa son mon futon. Je ne sais pas se qui m'a pris. J'aurais du appeler la police où quelqu'un du genre, mais non. Je la regardait, *elle ést plutôt mignonne.*
Je rougis! Pourquoi estce que j'avais de telles pensées en un moment pareil!? Je m'aprocha et la regarda de plus près. Elle ne semblait pas avoir d'oriels de nekos, normalement c'étaient eux qu'on retrouvait évanouis dans les ruelles. Cette fois si, c'était une humaine! Je me demandait bien ce qui lui était bien arrivé pour qu'elle se retrouve dans un tel endroit.

*Je vais devoir attendre qu'elle se réveille!*

Une douce odeur délicieusement bonne la réveilla, mais elle garda les yeux fermés. Elle ne savait pas où elle pouvait être pour être si confortable et au chaud. Très probablement un humain l'avait trouvé, mais où déjà? Son estomac douloureux lui rapella qu'elle s'était évanouie dans une ruelle, c'était sûrement là que l'avait trouvé l'humain. Mais pourquoi l'avait-il remporté chez lui au lieu d'appeler la police? Elle ne savait pas vriament ce que l'humain avait derrière la tête, mais elle ne se plierai jamais à lui! Elle l'entendait dans une autre pièce, alors elle se risqua à ouvrir ses yeux. Elle était sur un futon dans une maison, ou un appartement, elle ne le savait pas. La décoration était assez moderne, alors c'était peut-être un jeune humain, un homme de toute évidence car il n'y avait aucun élément féminin dans toute la pièce. Elle se souleva sur ses coudes pour regarder un peu plus facilement autour d'elle. Il ne semblait avoir aucune trace de femme ici, alors c'était probablement un célibataire. Elle ne le voyait pas la personne en tant que tel, mais elle l'entendait. Elle se pencha sur elle-même et vit avec joie qu'elle était toujours habillée et qu'elle avait toujours ses écouteurs, ais en tirant dessus, elle vit son MP3 tout craqué. Elle sentit une certaine colère la submerger. Elle avait dû se battre très fort pour l'obtenir ce foutu bidule! Et le voilà ruiné!

" C'est pas vrai..."

Elle espérait avoir parlé assez bas pour pas que les oreilles humaines de l'autre côté du muret ne l'entendent. Elle regarda tristement son appareil tout craqué. Elle n'entendra plus jamais sa musique si précieuse! Elle soupira et le glissa tout de même dans sa poche, au moin il n'avait pas volé ses écouteurs et il ne l'avait pas mise nue!
Elle fut curieuse de voir quelle sorte de personne qu'il pouvait être, l'endroit semblait trop propre pour être un petit rebelle de la rue, mais tout de même assez pour mettre un rouge aussi voyant dans sa décoration. D'après les bruits, il se trouvait dans la cuisine, alors elle inspectera le reste de la maison avant.
Seulement, lorsqu'elle tourna le coin, elle se retrouva face à face avec lui. Son premier réflexe fut de sauter sur lui et de le plaquer sur le plancher. Il n'aura pas la chance de la toucher.
Alors elle sauta sur lui, le faisant basculer par en arrière jusqu'au sol et elle appuya ses poignets à lui sur le sol.

"Qui es-tu et où je suis?"

*Plutôt mignon.....pour un humain*

Je la fixai encore un petit moment, je n’étais pas capable de la reconnaître. Elle devait surement allée à une autre école puisqu'elle semblait avoir environ le même âge que moi. Surtout qu'il y en avait beaucoup d'écoles dans cette ville. Je ne pouvais pas dire où ce qu'elle pouvait bien aller puisqu'elle n'avait pas son uniforme de l'école. J'essayai de voir si elle n'aurait pas eut de blessures graves sans avoir à la toucher. Je m’approchai pour mieux voir en avalant ma salive, retenant mon souffle et rougis. Je ne vis rien, sa peau semblait intacte et il ne semblait pas avoir de sang sur ses vêtements. Elle semblait être toujours vivante au moins. Je reculai et relâchait mon souffle. Je me sentais mal d'être si près d'une fille. Je me rendis compte que je venais de la toucher d'une certaine manière. J'ai du la prendre pour la monter ici. Je rougis de plus belle.

Mais je ne restai pas là longtemps, devant retourné à la cuisine pour continuer ce que je faisais. Le ménage était assez fini à mon goût, il ne resta que mon souper. Je voulais au moins me faire un dessert mais je n’arrivai pas à bien me concentrer. Mes idées étaient complètement ailleurs. Tout ce que j'étais capable de faire, c'était de penser à cette fille qui était couchée dans mon salon. Je ne comprenais pas pourquoi elle était dans un tel état. Il aurait vraiment fallu que l'appelle la police ou les ambulances. Je ne sais pas pourquoi que je ne le faisais pas. Je ne sais pas pourquoi mais je me sentais de plus en plus nerveux. En y réfléchissant, j'allais devoir appeler peut-être mon père s'il ne pouvait pas faire quelque chose pour elle si elle ne se réveilla pas.

En plein dans mes réflexions, j'entendis des bruits provenait du salon. Elle s'était déjà réveillée. J'ai même cru l'avoir entendu dire quelque chose et se déplacer. Je lavai mes mains rapidement pour les nettoyer qui étaient farine à cause du désert que je préparais. Je lâchai de nouveau mes préparations pour aller voir. Je retourna le coin, mais avant que je puisse réagir à temps, elle me sauta dessus et tomba par terre. Elle me plaquait fermement contre le sol. *Non mais elle est folle! Pourquoi qu'elle est autant sur la défensive? Elle doit surement penser que je ne suis qu'un gros prevers qui lui veut du mal.*

Je la trouvai plutôt forte pour une fille. Elle aussi devait suivre des cours d'arts martiaux. Elle me demandait qui j'étais et où elle était. Moi j'étais trop surpris sur le coup. Je la fixai un moment dans les yeux. Je me surpris à rougir de nouveau. Avant de lui répondre, je me débattis et la repoussa en la plaquant à mon tour sur le sol un petit moment. Non regards restaient liés pendant un bon moment. *Elle a de très beau yeux.* Mais je n’aimais pas cette position, ressentant le sang monter dans mes joues. Je devais devenir encore plus rouge. Je la relâchais et me leva rapidement avant qu'elle puise me toucher de nouveau et me frotta les poignets en lui répondant.

- Je t'aide et s'est comme ça que tu me remercies? Mais pour te répondre, je m'appelle Shiki et tu es dans mon apart'. Je t'ai retrouvé près des bennes évanouie par terre lorsque je suis allé getter mes poubelles. Et toi, comment tu t'appelle? Pourquoi tu étais évanouie par terre?

Elle le sentit se débattre sous elle et il réussit à la faire basculer jusqu'à ce qu'il soit sur elle. Uriko n'était pas habituée d'être en présence de quelqu'un plus fort ou aussi fort qu'elle. Lorsqu'elle se retrouva sur le dos et que leurs regards se croisèrent encore, elle se sentit un peu rougir, mais probablement moins que lui. S'il rougissait pour une si petite chose, il n'était certainement pas aussi pervers qu'elle le croyait. En plus, elle avait bel et bien encore tout ses vêtements, elle le regarda se retirer en se frottant les poignets. Il lui dit qu'il était seulement en train de l'aider. C'était vrai que puisqu'elle ne faisait pas confiance aux humains, elle ne lui avait pas demander très gentillement pourquoi elle s'était réveillée sur son futon,
Elle resta étendu sur le sol pendant un petit moment, son estomac grognant sa faim, elle n'avait pas pensé qu'il aurait put être fort, alors elle avait dépensé trop d'énergie en essayant de le garder sur le dos. Elle se retrouva encore une fois vidée. Puis, il y avait cette merveilleuse odeur, incroyablement tentante, venant de la cuisine.
Il s'appelait Shiki et il l'avait trouvé à côté des poubelles. Cela elle pouvait le croire, car elle se souvenait s'être endormie dans cet endroit. Mais, il voulait savoir son nom. Devait-elle lui donner son vrai nom? Bah, elle avait l'air humaine et il devait croire qu'elle l'était. Elle pourrait inventer toute une vie s'il le fallait.

" Je m'appelle Uriko."

Maintenant que lui dire pour ce qu'elle fut évanouie dans la ruelle. Elle pourrait lui dire une fois de plus la vérité, qu'elle avait eut trop faim, qu'elle n'avait plus l'énergie de bouger. Elle espérait vraiment qu'il n'est pas appelé la police, elle ne saurait pas quoi faire si les autorités humaines venaient la chercher.

"La faim, je me suis évanoue parce que j'avais faim."

Maintenant elle devait trouver une vie qu'elle aurait put avoir. Les humains étaient toujours trop curieux, c'était pour cette raison qu'ils avaient inventés les nekos, pour assouvir leur curiosité sexuelle. Elle le regarda, puis elle s'assit à côté de lui et le fixa sérieusement.

"T'as pas appelé la police j'espère?"

Alors elle s’appelle Uriko et elle c’était là par ce qu’elle avait faim? Je trouvai cela plutôt bizarre comme explication. Il avait un aura de mystère tournait autour de cette fille. Je ne croyais pas vraiment cette explication, mais peut-être que c’était quand même vrai. Les filles de ces jours étaient toujours tellement préoccupées par leur propre poids que peut-être qu’elle c’était laissée embarquer dans ce manège d’enfer. En la regardant, elle n’avait pourtant pas l’air d’avoir besoin de perdre du poids. Peut-être que les filles de son école l’avait écœurée et qu’elle avait décidé d’arrêter de mange pour qu’elles arrêtent. J’avais déjà vu ça à mon école. Cette pauvre fille avait tombé gravement malade. Je ne pouvais pas laisser cette fille devant moi faire la même erreur. Avant que je puisse lui dire une remarque, elle me demandait si j’avais appelé la police. C’était louche cette demande.

* Qu’est ce que cette fille pouvait bien cacher. Ça aurait changé quoi si je les avais appelés?*

Elle venait tout juste de m’attaquer, elle était forte pour une fille. Elle aurait pu faire n’importe quoi! J’espérais juste qu’elle n’avait pas tué quelqu’un et que je la gardai dans ma maison. Tous ses penses me donna la chaire de poule. Je pouvais sentir la nervosité monter dans mon corps. Je devais pourtant reste calme, je fis comme si rien n’était. J’avais une imagination trop fertile et je devais surement écouter trop de films!

-Non, inquiète toi pas pour ça… mais vu que je ne savais pas se que tu avais, j’aurais du appeler les ambulances. T'as qwuelque chose a cacher? En tout cas... ce n'est pas de mes affaires. Sauf que tu sais, ce n’est pas bien de ne pas manger. Je ne te connais pas mais si c’est pour maigrir, sache que tu en n’a pas de besoin. Tu n’as pas besoin d’être anorexique ou boulimique!

Je ne sais pas se qui m'avait prit de lui dire tout ça! Mais puisqu’elle disait de ne pas avoir mangé, une idée me passa par la tête. Je ne la laissai pas me reprocher des remarques qu’elle voulait bien me faire. Cela allait attendre après.

-Va t’assoir Uriko, la table est juste là, je vais te porter quelque chose à manger. Le souper devrait déjà être prêt et j’en aie trop fait comme toujours. Attends-moi!

Je me précipitait vers la cuisine sans savoir si elle me suivait, mais ce n’était pas tout à fait prêt alors je resta dans cuisine et attendit que tout soit prêt. Avant de pouvoir dresser les assiettes.

Il commençait à lui plaire cet humain, ce qui n'était pas une bonne chose. Elle ne devait pas s'attacher à un humain, il ne devait pas savoir qu'elle n'était pas humaine. Tant qu'elle restait dans cette forme, elle devait être parfaitement correct. Il lui avait dit de ne pas s'inquiéter de son poids, elle trouvait ça stupide, mais elle devait dire que les filles ces jours ne s'inquiétaient que de ça. Bien sur, Uriko n'était pas vraiment humaine au complet, donc son poids restait plutôt stable. Avantage du l'ADN des nekos; des corps presque parfaits. Cependant, elle devait peut-être lui dire qu'elle n'était ni anorexique ni boulimique, mais plus une sans abri qui avait eut de la misère à trouvé de la nourriture. C'était la journée des éboueurs, donc il n'y avait plus rien dans les poubelles qui était mangeable.

Hors du sujet, il lui dit d'aller s'assoire à la table et qu'il allait la nourrir. Avait-il si peur qu'elle ne mange pas? Elle ne put s'empêcher un petit sourrire alors qu'il allait vers la cuisine. Elle se leva doucement et regarda autour. BIen sur, il y avait la table, mais elle était un peu curieuse de voir l'intérieur d'un appartement pour la première fois. Elle regarda dans la pièce d'où elle s'était réveillée. Il n'y avait rien d'autre à voir par là elle avait déjà inspecté la pièce. Alors elle marcha silencieusement dans la maison et regarda autour. Elle vit un grand lit, bien fait, étrange pour un garçon. Tout était rangé, à sa place. Rien n'encombrait le sol ou le lit, ni même le bureau de travail dans le fond de la pièce près de la fenêtre. Elle entra et alla voir le cadre à photo sur le bureau. Un jeune homme avec ses parents. Il avait de la chance d'avoir des parents. Puis, sa curiosité l'emporta un peu et elle ouvrit l'un des tirroirs de la table de chevet. Rien d'humiliant.

Elle soupira et sortit de la chambre en marchant vers la cuisine. Elle s'adossa contre le mur et le regarda pendant qu'il cuisinait. Il était bon, il ne faisait aucune erreur, bien entendu, elle ne saurait pas s'il en faisait car elle même ne savait pas comment se faire à manger. Elle savait comment voler la nourriture, mais pas comment la préparer. Elle s'approcha de lui et passa sa tête par dessus l'épaule du jeune homme en humant l'odeur.

"Ça sent tellement bon. C'est quoi que tu fais?"

Elle regarda dans la casserole.

"C'est des nouilles, ça? Ça a l'air bon! C'est bientôt près?"

Son estomac gargouillait douloureusement. Elle n'avait pas mangé depuis si longtemps qu'elle serait prète à manger n'importe quoi. Elle se retira un peu et ouvrit les armoires pour sortir des bols. Si elle pouvait l'aider, elle leferait. Il lui faisait bien à manger elle pouvait au moins lui être utiles pour cette fois-ci.

Pendant que la fille foula dans son appartement. Je finissais les préparations de mon repas. Il n’avait que la viande qui resta à faire cuire. Toutefois avec tous les événements subits, mes nouilles semblaient être un peu trop cuites. C’était rare que je fasse une telle erreur, normalement, ma nourriture était toujours faite à perfection. Je fis une mine découragée, mais c’était vrai que je n’avais pas pu rester devant ses chaudrons pendant se temps. Je n’entendais même pas cette fille se promenée dans la maison, trop concentré sur la nourriture. Pourtant, avec mon ouïe surdéveloppée, j’aurais du être capable… mais bon!

Ce n’était que lorsqu’elle s’approchait de la cuisine que mon attention fut détourné. Mais j’avais trop à faire pour y prêter attention. Je la sentis s’approcher de moi pour regarder se que je faisais me demandant se que je faisais. J’allais lui répondre avant qu’elle s’exclame dans mes oreilles. Je fis un petit saut avant de se retourné vers elle et il dit:

-Oui, c’est du ramen… il faut juste que je prépare les œufs et la viande est presque cuite…

Je fermai le feu sous le chaudron des nouilles pour pas qu’elles soient trop cuites et la plaça sur le comptoir. Je pris ensuite mon chaudron avec les œufs bouillis et les passaient sous l’eau froide pour les refroidir. Ensuite, j’enlevai leurs coquilles et les coupa en deux. Je vérifiai finalement la viande, parfait! Il ne resta qu’à mettre le tout dans des bols! Pendant se temps la jeune femme c’était retiré pour fouillé dans ses armoires, je la laissais faire. Lorsque je me retournai pour prendre des bols, elle les avait déjà en main. Je la regardais et sourit et les prenant.

-Merci…

Je mis une portion généreuse de nouilles dans les bols, plaçant ensuite la viande et les œufs cuites coupé en deux sur le dessus. Je coupai un peu de ciboulette et en mit un peu tout autour dans les bols. J’aimais beaucoup me concentré sur la présentation de ses plats. Même si je n’étais qu’à la maison, je faisais le même travail que dans son restaurant. C’était rendu une habitude et préparer des beaux plats qui étaient à la fois très bon! Je sortis ensuite des assiettes pour y mettre la petite portion de poisson que j’avais préparé, il avait même des assiettes de boulles de riz et des dumplings encore une fois tous bien présenté. Je me retournai vers la fille avec un grand sourire fier.

-Voila c’est prêt! On peut aller à table! Attend un peu je vais préparer la table…

Je pris les bols et les emmena à sa petite table traditionnelle du japon et plaça ensuite ses autres plats en les plaçant tous. Ceux qui sont basse et qu’on doit s’assoir par terre sur des cousins. La mienne était toute noire avec des cousins rouges. Même si j’avais un appartement moderne, je voulais garder ce petit côté traditionnelle. De toute façon, partout au Japon, les gens avaient des tables comme ça!

Puisque j’étais sur que la jeune fille me suivait, je me plaçai à table à table. Je remarquais que j’allais oublier une chose très importante, les ustensiles! Je me levai d’un bond et allai les chercher. Je mis les baguettes, petites cuillères à leur place et m’assit de nouveau. J’attendis qu’elle se place avant de commencer à manger.

- Bon appétit! Et surtout ne sois pas gêné, il en reste encore si tu as toujours faim!

Uriko voyait bien qu'il s'y connaissait dans la cuisine. Elle le voyait faire cuire toutes sortes de choses en même temps et tout les aliments étaient parfaitement cuit! C'était peut-être la première fois qu'elle se trouvait dans une cuisine d'un humain, mais elle était certaine qu'a ses yeux elle avait l'air humaine. Il prit les bols qu'elle tenait et les posa sur la table pour les remplir avec les nouilles et la viande et les oeufs, un peu de tout ce qu'il avait fait cuire. Tout sentait si bon qu'elle écoutait à peine ce que le jeune homme disait. Elle l'avait entendu dire que c'était des ramens, ce qu'elle connaissait de nom, mais pas de goût, et la viande, elle n'était pas certaine ce que c'était comme viande, mais elle savait qu'elle mangerait tout ce qui se trouvait dans ce bol peu importe le goût. Lorsqu'on vivait dans la rue, toute la nourriture que l'on trouve est marquée cinq étoiles. Elle était sûrement la femme la plus étrange que cet humain avait vu. elle le suivit jusqu'à la table et s'assit à un des petits bancs. C'était une table très étrange, basse, et les chaises n'étaient que des coussins. Elle garda son dos droit et fixa le jeune homme. Les humains n'étaient pas aussi gentils que lui habituellement, qu'avait-il derrière la tête? Que voulait-il d'elle en échange? Elle ne savait pas si elle pourrait un jour faire confiance en un humain. Il l'avait peut-être sauvée de l'extérieur et transporté dans un appartement luxueux, mais que ferait-elle lorsqu'il lui demanderait quelque chose en retour de sa gentillesse? Elle n'avait rien à lui donner sauf peut-être sa virginité...Jamais!

-Que veux-tu de moi? Tu me donnes à manger, un toit temporaire et une gentillesse sans bornes... Je n'ai rien à te donner en échange et je ne me mettrai jamais nue pour un humain!

Elle savait qu'elle venait probablement de dire une bêtise, mais elle n'aimait pas se sentir perdue de cette façon. Elle avait peur, elle n'était pas habituée d'avoir peur et de se sentir ainsi, elle sentait comme si elle devait se défendre, mais contre quoi? Une gladiatrice contre un humain normal? Elle le tuerait! Elle se r'assit doucement en baissant la tête et ferma ses poings.

-Désolée...

» Shiki Haninozuka