Bienvenue à Okinawa.
Dans cette ville ou tout semble bien normal, il y a une secret. un lourd secret que cache jalousement les habitants de la ville. Un secret si bien protégé
qu'une milice fut créée pour garder les visiteurs silencieux. Dans cette ville, il y a une race qu'il n'y a nulle part autre: Les nekos. Cette race fut créée par
un homme qui voulait que son chat puisse parler. Voici son histoire.
Un accident terrible, du métal tordu, du sang. Sa femme venait tout juste de mourir en emportant avec elle son fils qui n'était pas encore né. Il avait
survécu, il avait tout perdu. Il ne lui restait que le chat de sa femme, un beau persan blanc, pure race. Cependant, la solitude prit rapidement le dessus.
Le chat ne parlait pas, il ne parlait à personne. Il avait besoin d'amis, mais il ne voulait pas sortir. Nous ne nommerons pas son nom, puisqu'il est tabou.
Un soir, il écouta un film de science fiction, ce film lui donna une idée. Il se mit au travail. Il jouait avec les gênes du persan. Puis il se trouva dans un fond,
il avait besoin d'une femme. Utilisant son charme et son argent, il attira trois femmes. Il implanta dans chacunes le sperme du chat de sa femme, leur faisant
croire qu'elles étaient surement tombées enceinte de lui. Cependant, après neuf longs mois, deux des trois femmes donnèrent naissance aux deux premières
abominations. Il y avait une femelle et un mâle. Le petit être aux oreilles pointues portait également une longue queue fournit et poilue. Les femmes furent tuées et l'homme prit bien soin
de ses petites expériences. Ceux-ci grandirent avec une vitesse normale, ce qui était bien. ils parlaient, ils étaient dociles, ils étaient utilent. Lorsqu'ils
eurent l'âge, il les accoupla. Cependant, dès le jour où il les montra au monde, il n'eut pas la même réaction qu'il cru recevoir. Les gens les craignaient.
Après quelques années, il vendit le tout premier. Tout commença ce jour là. Dès que le premier neko partit, plusieurs autres gens en voulaient.
Généralement, c'était tous des pervers, mais certaines personnes en voulaient juste pour en avoir.
